Madame R***** avait inscrit ses enfants à la cantine par erreur pour le vendredi 6 juin 2025 alors que c'était le jour de l'Aïd et que ses enfants devaient être absents. Elle a écrit le lundi pour faire corriger son erreur puisqu'elle n'avait plus la main sur le site informatique.
Cela lui a été refusé alors qu'il y avait 5 jours de délai.
Le jour même, elle a encore pris la peine de prévenir par courriel que ses enfants étaient malades et ne viendraient pas manger.
De deux choses l'une : soit le gâchis de deux repas ne gêne personne, soit il s'agit de faire payer à Madame R***** des repas dont on savait que ses enfants ne les mangeraient pas.
Il est exigé désormais que Madame R***** fournisse un certificat médical pour prouver que ses enfants étaient bien malades. Or, même l'Education Nationale n'exige pas de certificat médical pour les absences des élèves parce qu'il est souvent impossible d'avoir accès à un médecin sans rendez-vous. Le médecin traitant des enfants, la docteure ************, était d'ailleurs absente ce jour-là.
Cette situation met en évidence que les familles bondynoises ne sont pas entendues. La sévérité du règlement et le refus de la mairie de considérer les cas particuliers pénalisent les familles et les enfants.
Madame R***** avait d'ailleurs subi une facturation de 3 500 euros qu'elle a dû régler sans pouvoir faire corriger les erreurs qu'elle avait signalées. Elle a ensuite dû payer les activités périscolaires pendant 4 mois parce que le principe de l'inscription était mal expliquée sur le portail famille, comme d'autres familles que nous vous avons signalées.
Craignez-vous de ne pas faire entrer assez d'argent en entendant les familles bondynoises ?